Valérie Goutard
Inéquillibre
17.03 > 23.04.2022
Le terme « Inéquilibre » fut donné par Val à l’une de ses sculptures, inspirée par la beauté ressentie devant la décadence des temples d’Angkor où elle voyait apparaitre dans le chaos de ces ruines, un équilibre natu- rel. Si Pascal Gabert l’a choisi comme titre de l’exposition, c’est parce que ce mot contient en lui l’essentiel des recherches de rythme et d’harmonie de l’artiste, la justesse dans la composition de ses structures à l’intérieur desquelles les personnages s’inscrivent et se meuvent, en équilibre fragile - parfait reflet de sa vision du monde. Comme elle l’avait écrit : « Je représente l’homme, immortel, qui se succède, génération après génération. Cet homme ou cette femme, je parle de l’humain, c’est quiconque en quête de sens, de beau, qui s’interroge. Je représente la nature, les vibrations qu’elle éveille en moi, le caractère indissociable de l’homme et de la nature et par mes vides j’invite la nature à avoir une part active dans la multiplicité des interprétations possibles. »
+
Jean Zuber
I AM
14.10 > 04.12.2021
"Je suis le tableau que je regarde
(Des peintures qui sont des actes à part entière)
Mes derniers tableaux s'inscrivent dans ce que je nommerais des points de vue, des interrogations auxquelles je tente de donner une réponse formelle.
Être en osmose sur différents questionnements philosophiques par l'intermédiaire d'un langage de forme et de l’énergie qui s’en dégage, de symboles, de couleurs parfois violentes, c'est ainsi que je synthétise mes préoccupations des soixante dernières années: me soustraire d'une définition précise pour expliquer l'inexplicable.
Mes titres sont le point final de l'œuvre.
Le tableau lui même prend la parole et développe une puissance qui devrait emporter l'esprit de celui qui regarde."
Jean Zuber
+
Valérie Goutard
Inéquillibre
17.03 > 23.04.2022
Le terme « Inéquilibre » fut donné par Val à l’une de ses sculptures, inspirée par la beauté ressentie devant la décadence des temples d’Angkor où elle voyait apparaitre dans le chaos de ces ruines, un équilibre natu- rel. Si Pascal Gabert l’a choisi comme titre de l’exposition, c’est parce que ce mot contient en lui l’essentiel des recherches de rythme et d’harmonie de l’artiste, la justesse dans la composition de ses structures à l’intérieur desquelles les personnages s’inscrivent et se meuvent, en équilibre fragile - parfait reflet de sa vision du monde. Comme elle l’avait écrit : « Je représente l’homme, immortel, qui se succède, génération après génération. Cet homme ou cette femme, je parle de l’humain, c’est quiconque en quête de sens, de beau, qui s’interroge. Je représente la nature, les vibrations qu’elle éveille en moi, le caractère indissociable de l’homme et de la nature et par mes vides j’invite la nature à avoir une part active dans la multiplicité des interprétations possibles. »
+
Past exhibitions
2021
2020
2019
2018
2017